Dans la vie réelle, Suzu est une adolescente complexée, coincée dans sa petite ville de montagne avec son père. Mais dans le monde virtuel de U, Suzu devient Belle, une icône musicale suivie par plus de 5 milliards de followers. Une double vie difficile pour la timide Suzu, qui va prendre une envolée inattendue lorsque Belle rencontre la Bête, une créature aussi fascinante qu’effrayante. S’engage alors un chassé-croisé virtuel entre Belle et la Bête, au terme duquel Suzu va découvrir qui elle est.
Une maman parfaite est appelée à participer à un procès pour infanticide. Est-elle si différente de l’accusée ? La Maison de la rue en pente » , une série choc et nécessaire en 6 épisodes à découvrir sur Arte.tv et en DVD.
6 films inédits et en tout épatants, fraîchement restaurés et à découvrir au cinéma le 16 février : la rétrospective « Kinuyo Tanaka, réalisatrice de l’âge d’or japonais » signée Carlotta Films révèle le talent – derrière la caméra cette fois-ci – de l’actrice fétiche d’Ozu et Mizoguchi. (Re)découverte du grand cinéma japonais.
Kobe, 1941. Yusaku et sa femme Satoko vivent comme un couple moderne et épanoui, loin de la tension grandissante entre le Japon et l’Occident. Mais après un voyage en Mandchourie, Yusaku commence à agir étrangement… Au point d’attirer les soupçons de sa femme et des autorités. Que leur cache-t-il ? Et jusqu’où Satoko est-elle prête à aller pour le savoir ?
Alors qu’il n’arrive toujours pas à se remettre d’un drame personnel, Yusuke Kafuku, acteur et metteur en scène de théâtre, accepte de monter Oncle Vania dans un Festival, à Hiroshima.
Il y fait la connaissance de Misaki, une jeune femme réservée qu’on lui a assignée comme chauffeure. Au fil des trajets, la sincérité croissante de leurs échanges les oblige à faire face à leur passé.
En quête de ses racines, Sachiko rend visite à sa famille japonaise installée à Sumatra. Tout le monde ici essaye de se reconstruire après le tsunami qui a ravagé l’île il y a dix ans. A son arrivée, Sachiko apprend qu’un homme mystérieux a été retrouvé sur la plage, vivant. Le village est à la fois inquiet et fasciné par le comportement de cet étranger rejeté par les vagues. Sachiko, elle, semble le comprendre…
C’est un jour de statu quo naturel où le ciel semble aussi paisible que la mer, jetant son bleu dans les reflets de l’eau. Un état naturel apaisé, sans altération ni remous.
Satoko et son mari sont liés pour toujours à Hikari, la jeune fille de 14 ans qui a donné naissance à Asato, leur fils adoptif. Aujourd’hui, Asato a 6 ans et la famille vit heureuse à Tokyo. Mais Hikari souhaite reprendre contact avec la famille et commence un étrange chantage…
Au cœur de Tokyo, la famille Kobayashi vit paisiblement de l’imprimerie. Quand un vieil ami de la famille réapparaît, aucun ne réalise à quel point il est en train de s’immiscer progressivement dans leur vie… jusqu’à prendre leur place. « Hospitalité » sort dans les salles le 26 mai, à la réouverture des cinémas… et il ne faudra pas le manquer !
Si le cinéma est le miroir de la vie, il reflète ce qui nous intrigue, ce qui nous réconforte et ce qui est insaisissable. Que le cinéma japonais soit donc peuplé de chats, cela ne pouvait que relever de l’évidence. Choyé dans les bar à chats (les neko cafés) et les entreprises, hommagé dans des sanctuaires dédiés, comme le Nyan Nyan Ji, il incarne symboliquement aussi bien la prospérité et la chance que le malheur. Ainsi, aux joyeuses pattes levées des maneki-neko s’oppose la mythologie sombre du bakeneko et du nekomata. Le fidèle bobtail japonais, la plus nippone des races de chat, montre ses taches tricolores et sa queue en tire-bouchon sur tous les écrans, des anime aux longs-métrages des grands maîtres, faisant souvent office de métaphore à quatre pattes ou tenant magistralement le rôle principal. Petit tour d’horizon non exhaustif de l’histoire d’amour entre le chat et le cinéma.
Mima a 21 ans, elle est idol et fait partie des CHAM, girl band en pleine ascension. Mais Mima fait sensation quand elle annonce vouloir se reconvertir vers une carrière d’artiste, épaulée par ses deux agents, Tadokoro et Rumi. Dès son premier tournage commencé, un tournage qui promet de ternir l’image innocente de l’ancienne idol, des faits de plus en plus inquiétants et macabres se produisent : un fan harceleur qui étale la vie de Mima dans ses moindres détails sur Internet, des accidents, des menaces et enfin des meurtres. Quand la fiction s’entremêle à la réalité et les hallucinations interfèrent avec la vie, rien n’est plus ce qu’il semble…