Après SUIS-MOI JE TE FUIS, nous retrouvons Tsuji, Ukiyo et leurs nombreux satellites amoureux dans une course-poursuite vers le bonheur qui promet des rebondissements jusqu’à la ligne d’arrivée. L’amour, le vrai, saura-t-il grimper en haut du podium ?
Entre ses deux collègues de bureau, le cœur de Tsuji balance. Jusqu’à cette nuit où il rencontre Ukiyo, à qui il sauve la vie sur un passage à niveau. Malgré les mises en garde de son entourage, il est irrémédiablement attiré par la jeune femme… qui n’a de cesse de disparaître.
A presque 30 ans, Hanako est toujours célibataire, ce qui n’est pas sans déplaire à sa famille, riche et traditionnelle. Quand elle croit avoir enfin trouvé l’homme de sa vie, elle réalise qu’il entretient déjà une relation ambiguë avec Miki, une hôtesse récemment installée à Tokyo pour ses études. Malgré le monde qui les sépare, les deux femmes vont devoir faire connaissance.
C’est en rencontrant son ancien amant de faculté, que Toko, depuis longtemps femme au foyer, voit soudain renaître en elle le désir de travailler, et de reprendre son métier d’architecte. Mais peut-on jamais retrouver la vie qu’on a délaissée pendant tant d’années ?
Dans la vie réelle, Suzu est une adolescente complexée, coincée dans sa petite ville de montagne avec son père. Mais dans le monde virtuel de U, Suzu devient Belle, une icône musicale suivie par plus de 5 milliards de followers. Une double vie difficile pour la timide Suzu, qui va prendre une envolée inattendue lorsque Belle rencontre la Bête, une créature aussi fascinante qu’effrayante. S’engage alors un chassé-croisé virtuel entre Belle et la Bête, au terme duquel Suzu va découvrir qui elle est.
Une maman parfaite est appelée à participer à un procès pour infanticide. Est-elle si différente de l’accusée ? La Maison de la rue en pente » , une série choc et nécessaire en 6 épisodes à découvrir sur Arte.tv et en DVD.
6 films inédits et en tout épatants, fraîchement restaurés et à découvrir au cinéma le 16 février : la rétrospective « Kinuyo Tanaka, réalisatrice de l’âge d’or japonais » signée Carlotta Films révèle le talent – derrière la caméra cette fois-ci – de l’actrice fétiche d’Ozu et Mizoguchi. (Re)découverte du grand cinéma japonais.
Kobe, 1941. Yusaku et sa femme Satoko vivent comme un couple moderne et épanoui, loin de la tension grandissante entre le Japon et l’Occident. Mais après un voyage en Mandchourie, Yusaku commence à agir étrangement… Au point d’attirer les soupçons de sa femme et des autorités. Que leur cache-t-il ? Et jusqu’où Satoko est-elle prête à aller pour le savoir ?
Alors qu’il n’arrive toujours pas à se remettre d’un drame personnel, Yusuke Kafuku, acteur et metteur en scène de théâtre, accepte de monter Oncle Vania dans un Festival, à Hiroshima.
Il y fait la connaissance de Misaki, une jeune femme réservée qu’on lui a assignée comme chauffeure. Au fil des trajets, la sincérité croissante de leurs échanges les oblige à faire face à leur passé.
Brûlant comme le sable chaud, comme le premier café, comme l’actualité. Il est des actualités qu’on préférerait qu’elles ne soient pas perpétuellement brûlantes, chaudes et douloureuses.
À l’instant où l’on écrit, un père français, Vincent Fichot, se trouve devant une gare de Tokyo où il a entamé une grève de la fin. Son but, récupérer ses deux enfants, soutirés par son ex-épouse et que la loi japonaise lui empêche d’approcher.
Dans une fiction douloureusement proche du fait divers, Olivier Adam explore les recoins d’une histoire similaire dans « Tout peut s’oublier » (Flammarion).