Otoshiyori, trésors japonais

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« Journal intime, carte au(x) trésor(s), cabinet de curiosités et atlas des lieux en voie de disparition… Otoshiyori, trésors japonais, le tendre essai graphique d’Isabelle Boinot, est tout cela. Mais c’est surtout une lettre d’amour à une génération lente et filante, celle des otoshiyori (« personnes âgées »), une lettre d’amour qui n’est pourtant pas dupe de son propre émoi, la vieillesse étant, du Japon, à la fois le pilier et le tendon d’Achille. »

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« J’aime explorer les territoires inconnus, la vieillesse en est encore un, du moins pour quelques temps. » Au cours de ses nombreux séjours au Japon, l’intérêt d’Isabelle Boinot pour les personnes âgées, les otoshiyori, ne cesse de grandir. Elle les côtoie, les observe, les dessine. C’est un univers fragile que l’autrice s’est employée à consigner, élaborant un vaste répertoire de pâtisseries, de lieux, d’emballages colorés, d’animaux de compagnie, de petits chariots et de poussettes indispensables à la vie quotidienne. Elle nous fait entrer dans les kissaten, ces cafés de quartier traditionnels qu’elle affectionne et rend avec délicatesse la séduisante désuétude de ces lieux, bien souvent aussi anciens que leur propriétaire. Sous les couleurs douces et pastel, la vie n’est pourtant pas toujours facile. Nombreux sont les otoshiyori à devoir, par nécessité financière, rester en activité à 70 ans passés et leur précarité se fait d’autant plus discrète que la pression à ne pas peser sur le reste de la société est forte.

Éditions L’Association

Parution : 04/02/2022

176 pages

Informations complémentaires

Poids 0,500 kg
Dimensions 15 × 21 × 2 cm

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