Pour sa dernière exposition, le musée du quai Branly a convoqué les fantômes et autres créatures maléfiques d’Asie qui hantent habituellement la littérature, le théâtre, la peinture, le cinéma ou encore les mangas. Les grands moyens ont été déployés — reconstitution en 3D de spécimens terrifiants, extraits de films glaçants sur de grands murs, hologrammes et effets spéciaux — pour vous faire frissonner comme dans le plus génial des trains fantômes.
L’exposition que consacre la Fondation Cartier à Junya Ishigami s’ouvre sur cette confession-manifeste de l’architecte prodige. Lion d’or à la Biennale d’architecture de Venise, Ishigami fait partie, avec Toyo Ito et Kazuyo Sejma, de cette jeune scène architecturale japonaise, qui fait aujourd’hui fureur en France et dans le monde.
Le Mont Fuji n’est pas seulement la plus haute montagne du Japon, culminant à 3 776 mètres. C’est aussi un volcan, un stratovolcan pour être plus précis et l’un des sites naturels les plus représentés de l’Histoire de l’art. Son aura est telle qu’il constitue l’un des symboles du Japon. Mais pourquoi un tel engouement de la part des artistes ? Qu’ont-ils retenu de ce motif ?
Ceci n’est pas une exposition d’art. La Grand Halle de la Villette accueille depuis le 15 mai et jusqu’au 9 septembre, le projet fou du collectif japonais TeamLab.
Vous pourrez y voir des fleurs immenses s’épanouir puis faner suivant le rythme des saisons. Vous suivrez le vol d’intrépides corbeaux et la danse de papillons innombrables. Vous admirerez le ballet des baleines, le mouvement saugrenu des grenouilles… une féérie animée, projetée du sol au plafond sur plus de 2000 m2.
Après la amoureux accidentelle de ses parents, Okko est recueillie par sa grand-mère, responsable d’une auberge. Épaulée par des fantômes qui vivent là, la fillette va découvrir sa vocation… Interview du réalisateur Kitaro Kosaka.
Pourquoi tout le monde change-t-il soudainement de comportement ? Etsuko est-elle la seule à se rendre compte que son amie, son patron, son mari ne sont plus tout à fait les mêmes ? Peu à peu, elle réalise que si des forces mystérieuses sont en train de prendre l’apparence des hommes, elles échouent à décrypter leurs sentiments. Et celui d’Etsuko envers son mari est encore plus étrange que les autres… Quand un grand metteur en scène Japonais décortique notre humanité, cela donne un film fascinant.
Nishimiya est une élève douce et attentionnée. Chaque jour, pourtant, elle est harcelée par Ishida, car elle est sourde. Dénoncé pour son comportement, le garçon est à son tour mis à l’écart et renvoyé du lycée… Des années plus tard, il apprend la langue des signes… et part à la recherche de la jeune fille. Un chef d’œuvre de l’animation japonaise, d’une profondeur bouleversante et d’une infinie créativité visuelle. Le meilleur anime de 2018.
Relatant déjà très bien l’importance du personnel de santé auprès d’une population vieillissante, le film L’infirmière , qui sortira le 5 août, est donc rattrapé par l’actualité. La méfiance, le harcèlement puis le rejet dont est victime Ichiko dans le film, quelque soit la réalité de sa culpabilité, rappelle les pressions qu’ont subies les infirmières du fait de l’amour De l’amour. Nous avons décidé de nous engager contre le harcèlement, ce fléau particulièrement ancré au Japon.
Vous adorez le Japon et plus encore son cinéma ? Vous aviez particulièrement apprécié la sélection de films du festival LES SAISONS HANABI ? Participez à la campagne de financement lancée par HANABI jusqu’à Noël en faisant le plein de cinéma : Nous avons besoin de vous pour prolonger la belle expérience de LES SAISONS HANABI avec les programmes d’Automne et d’Hiver dans tous les cinémas de France en 2020 ! Après le petit succès des 16 films présentés en 2019 dans le cadre des programmes Printemps et Été, c’est grâce à vous que nous pourrons prolonger ce concept unique en France : le premier festival saisonnier ! De nombreux coffrets et DVD de tous les films japonais que vous avez vus, eu envie de voir ou d’offrir ces deux dernières années ainsi que d’autres dotations exceptionnelles vous seront proposés avant ces fêtes de fin d’année.
Hanabi part à la découverte du Japon à travers les yeux de ceux et celles qui y ont été accueillis ou qui en sont originaires : étrangers au Japon (gaijin) ou Japonais (nihonjin) en France, chacun d’entre eux a une histoire simple ou rocambolesque, toujours unique, qui le relie au pays du Soleil Levant. Amour, hasard, travail, ennui : le départ a ses raisons que la raison ignore. Le portrait du Japon qui s’y dégage est celui d’un pays aux mille et unes nuances, privées et palpitantes. Troisième rencontre de notre périple intime : Kinuko Asano, photographe, designer et directrice artistique de la galerie/librairie &co119, à Paris.